Ce site Web a des limites de navigation. Il est recommandé d'utiliser un navigateur comme Edge, Chrome, Safari ou Firefox.

Soins naturels : et si on arrétait de se mentir ?

Soins naturels : et si on arrétait de se mentir ?

C’est officiel : on vit dans l’ère post-bullshit.

Aujourd’hui, personne ne veut plus entendre parler d’additifs aux noms imprononçables, de silicones déguisés ou de colorants potentiellement cancérigènes.

Et les chiffres confirment la tendance.


Selon le cabinet Kantar, 58 % des consommateurs européens disent éviter les produits contenant des ingrédients chimiques controversés, et 1 produit de soin sur 4 vendu en France en 2023 était labellisé “bio” ou “sans”.

L’offre explose. La demande aussi.

Et franchement, on comprend. Si l'on est capable de rajeunir une grand-mère de 70 ans grâce à un filtre TikTok, on doit bien pouvoir formuler un soin capillaire clean, efficace… et sans danger.

Mais voilà : dans l’univers des soins capillaires naturels, un problème persiste. Un tabou même.
L’efficacité.

 

Le naturel : pas toujours synonyme d’efficacité

Soyons honnêtes : on a toutes déjà testé ce produit à la compo irréprochable, huiles vierges pressées à froid, extrait de graine de lotus récolté à l’aube d’un mardi pluvieux, pour un résultat… totalement plat.

Ni plus de souplesse.

Ni plus de définition.
Ni plus d’hydratation.

Juste une bouteille jolie et un parfum sympa.

Pourquoi ? Parce qu’un bon produit naturel, ce n’est pas juste un empilement d’ingrédients bruts.

C’est une formulation pensée, une alchimie entre actifs, où chaque ingrédient a une place, un rôle, et surtout : une fonction adaptée à la physiologie du cheveu.

Mauvaise formulation = zéro résultat

Prenons un exemple simple : la glycérine végétale.
C’est un excellent humectant… à condition d’être bien dosée.
Trop concentrée, et sans humidité ambiante, elle assèche la fibre au lieu de l’hydrater.

Autre point crucial : le pH.
Un bon soin respecte l’acidité naturelle du cheveu (autour de 4,5 à 5,5).

Trop basique ? Il ouvre les écailles.

Trop acide ? Il irrite.

Résultat : frizz, casse, manque de brillance.

Et bien sûr, il faut choisir les bons actifs pour les bons besoins.

Cheveux secs ? Il faut des huiles fines, nutritives mais non occlusives.


L’huile de jojoba, par exemple, est l’une des rares à avoir une structure proche du sébum humain.

Elle nourrit, protège… sans alourdir.

Bref : un soin naturel efficace, c’est moins une question de nombre d’ingrédients qu’une question de logique, de synergie, et de dosage maîtrisé.

Le greenwashing : l’autre face des soins "naturels"

Derrière le mot “naturel”, on trouve encore trop souvent des formules pauvres ou trompeuses.

Quelques exemples :

- de la paraffine liquide, une huile minérale issue de la pétrochimie, utilisée comme substitut bon marché aux huiles végétales ;

- Huiles végétales raffinées, chauffées à haute température, dénaturées, décolorées, inodores : elles ont perdu l’essentiel de leurs propriétés actives… mais elles restent “d’origine végétale”.

-Extraits synthétiques recréant vaguement des actifs végétaux (comme les arômes de lavande ou d’aloe vera), présents à dose infime, parfois 0,001 % — juste de quoi apparaître sur l’étiquette.

- Colorants dits “naturels”, comme le caramel ou l’oxyde de fer, qui peuvent être obtenus par procédés industriels lourds, très éloignés d’un jus de betterave maison.

Autrement dit, tout n’est pas clean dans le clean. Lire une étiquette demande du recul, voire un décodeur.

Un label ou une mention “bio” ne garantit pas forcément une formule riche, pensée, efficace.

Pourquoi un vrai soin naturel coûte plus cher

Formuler un soin naturel efficace, made in France, sans compromis sur la qualité… ça a un coût. Et ce n’est pas un caprice marketing.

Les matières premières de qualité (non raffinées, bio, traçables) sont plus chères.

Les tests de stabilité sont plus complexes : les actifs végétaux sont plus sensibles à la chaleur, à l’oxydation, à la lumière.

Le sourcing est exigeant : récoltes saisonnières, approvisionnement éthique, chaînes courtes.
Les packagings durables (plastiques recyclés, encres végétales, formats légers) ont un coût réel.

Et surtout, le bon soin, c’est celui que vous utilisez jusqu’à la dernière goutte.
Pas celui qui reste dans un tiroir parce qu’il ne fait rien.

 

Et chez Saison des Pluies, alors ? 

Prenons notre soin leave-in So Wet Oh!.

1 - 97 % d’ingrédients d’origine naturelle : issus du règne végétal, non transformés, choisis pour leur impact réel sur les cheveux secs.

2 - L’huile de melon du Kalahari, utilisée depuis des siècles pour survivre à la sécheresse extrême, pour protéger et nourrir la fibre. 

3 - L’huile de jojoba légère, protectrice, idéale pour les boucles ou les locks fragilisées.

4 - Un émulsifiant clean : Emulsium™, mélange naturel de cire végétale d’abeille et d’huile de jojoba, qui apporte une vraie stabilité à la formule… tout en renforçant l’hydratation.

5 - Une certification Yuka : Excellent, pour ne pas nous croire que sur parole.

6 - Un parfum signature : conçu sur-mesure pour la marque, doux, solaire et subtil, sans allergène réglementé ni perturbateur endocrinien.

Et les 3 % restants ?

Des conservateurs doux, acceptés par les labels bio, et strictement nécessaires à la sécurité du soin.

Pas de “vrai ou faux naturel” chez nous.
Juste une formule courte, logique, fonctionnelle.

À retenir

Le naturel, c’est bien.

Le naturel efficace, c’est mieux.

Et le naturel efficace, honnête et sensoriel, c’est exactement ce que vos cheveux méritent.

Prête pour un soin hydratant sans rinçage qui tient ses promesses ? C’est par ici.

 

 

Laissez un commentaire

Vous avez aimé ce que vous avez lu ?

Recevez nos conseils, astuces chaque semaine.

Panier